Votre don change des vies
Nous ne pouvons pas sauver le monde entier,
mais la vie d’une personne à la fois.
C’est vrai… En 75 ans, l’EPER n’est pas parvenue à éradiquer la misère sur terre. Mais aujourd’hui, comme hier, elle peut changer la vie de nombreuses personnes et contribuer à rendre leur monde meilleur.
Par exemple celles d’Abdul Hamid, de Tatinha Alves, de Marta Beyene et d’Awa Sarr. Ces femmes et ces hommes font partie des millions de personnes auxquelles l’EPER a pu venir en aide au cours des 75 dernières années et qu’elle continuera à soutenir à l’avenir, dans leur lutte pour l’accès à la terre et contre la famine, dans des situations d’exil, dans la revendication de leurs droits et dans leur intégration dans la société.
HEKS
BANGLADESH
Abdul Hamid
« Avant notre fuite, nous vivions dans un village de l’ouest du Myanmar. Mon père était pêcheur. Nous avions quelques terres, trois buffles et huit chèvres. Nous avons tout perdu. Au début, nous habitions dans une sorte de hutte fabriquée en tiges de bambou. L’EPER nous a aidés à améliorer notre logement, et nous pouvons désormais manger presque tous les jours les légumes que nous cultivons nous-mêmes. »
Christian Bobst
SÉNÉGAL
Awa Sarr
« Avant, pour récolter les huîtres, nous coupions les racines des palétuviers, si bien que les arbres mouraient. En faisant cela, nous détruisions non seulement l’habitat des huîtres, des moules et des crevettes, mais aussi notre source de revenus. Avec l’EPER, j’ai beaucoup appris sur l’importance des mangroves ainsi que sur la façon de les protéger et de les reboiser. »
HEKS
BRÉSIL
Tatinha Alves
« La cueillette des immortelles est la source de revenus de notre communauté depuis des générations. L’EPER nous aide à lutter pour notre territoire et à faire reconnaître notre mode de vie traditionnel. Je rêve que ma fille Ana Carolina soit un jour heureuse ici et qu’il y ait toujours des fleurs à foison. »
Anne-Camille Vaucher
SUISSE
Marta Beyene
« De nombreuses femmes érythréennes n’osent pas aborder des familles suisses. Grâce à mon stage d’employée de ménage dans la famille Friedli, que le programme d’intégration HEKS@home (EPER) m’a permis de décrocher, je suis plus à l’aise pour parler avec des Suissesses et des Suisses. Et cela me fait du bien de travailler. »
Depuis 75 ans, nous venons en aide aux personnes démunies et améliorons leur vie – tout cela, grâce à des personnes comme vous.
Mais il reste beaucoup à faire : plus de 82 millions d’individus dans le monde sont exilés ou déplacés, une personne sur neuf souffre de la faim et, d’ici 2050, le changement climatique pourrait menacer le lieu de vie de plus d’un milliard d’individus. Ces personnes ont plus que jamais besoin de nous.