A l’étranger, l’EPER instaure différentes mesures d’hygiène et de sensibilisation pour protéger les personnes particulièrement à risque du virus. Parallèlement, elle analyse les répercussions de la pandémie à moyen et à long termes, notamment économiques, sur ses bénéficiaires. Elle adapte ainsi ses projets en conséquence.
En Suisse, l’EPER reste proche de toutes celles et tous ceux qui se retrouvent dans une grande vulnérabilité, quelles que soient les raisons. Il s’agit notamment de personnes migrantes âgées, sans papiers, réfugiées, au chômage depuis longtemps, sans abri ou souffrant d’une addiction. La perte d’emploi et le respect des distances sociales les empêchent d’autant plus de nouer des liens. L’EPER les aide à surmonter cette période difficile d’isolement social, à revendiquer leurs droits et à retrouver un emploi.